Homme soumis

Mercredi 20 juin 3 20 /06 /Juin 12:39

Je dormais depuis un bon moment lorsque j ai été réveillé par des coups sur le visage. Aude me tapotait le visage avec le god ceinture qu elle portait. Elle me dit " j’ai encore envie, Marie dors et je ne souhaite pas la réveiller après tout ce qu elle a fait et jouie " " SUCE SALOPE " Elle me forçait la bouche avec ce gros god, j ai ouvert la bouche et j ai commencé à sucer comme je pouvais ainsi menottait, sur le ventre mais elle s enfonçait dans ma bouche jusqu a la gorge. Je léchais et sentais le goût de la mouille de ma femme.

 

Puis, elle est passé sur moi, elle a écarté le string ainsi que mes fesses et a présenté le god ceinture sur mon anus. Je lui ai dit que je ne voulait pas, je l ai supplié d arrêter là, mais elle n entendait rien et continuer à me forcer l anus. J ai commencé à hausser le temps, à promettre que je crierais. Elle a stoppé et est sortie de la chambre. Je pensais bien m en sortir. Mais elle est revenue avec sa culotte sale qu elle m avait préparé durant trois jours. Elle me la bourrait dans la gueule et est revenue cette fois sans ménagement dans mon cul.

 

Elle me défonçait avec ces grands coups de reins, me traitant de tout les noms les plus bas. J en pleurais, elle me tirait par les cheveux et m annonçait à l oreille que j allais finir par aimer cela. Elle me chevauchait littéralement. Elle m a encouragé à bouger mes fesses sinon Marie me quitterait et je m exécutais tout en pleurant et hurlant dans cette culotte le mal que cela me faisait. Elle a enfin jouie et m a abandonné là pour rejoindre ma femme. J ai réussi à recracher cette culotte dégueulasse et je me suis endormie, mon cul me brûlait.

 

Au matin, c est ma femme qui est venue me libérer. Elle me demanda d aller préparer le petit déjeuner. J y suis allé, je suis allé chercher du pain et lorsque je suis revenu, j entendais à l étage ma femme prendre de nouveau du plaisir. Après un long moment, elles sont descendues et je leur ai servi le petit déjeuner.

Par Veronique - Publié dans : Homme soumis
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Mardi 19 juin 2 19 /06 /Juin 12:37

Nous sommes arrivés à la maison. J ai du me mettre nue ne portant plus que son string, le cul toujours pluggé et la ficelle attachée autour et tirant ma bite en arrière écrasant mes couilles. Je me suis mis à 4 pattes. Ma femme a baissé son débardeur l enlevant comme une jupe puis a dégrafé sa minijupe cirée. Aude et moi avons découvert l état de ses cuisses, de ses fesses, de sa raie maculées de foutre et sa chatte d un mélange de sperme et de mouille. Elle a jeté la minijupe à terre et j ai du lécher les traces de sperme sur ce morceau de toile cirée. Ma femme a découvert l état de mes fesses et a déclaré " eh bien , tu ne l as pas raté, " " il a été aussi indiscipliné que cela ? " Ce à quoi Aude a répondu " Non, il a été plutôt gentil, c était juste pour mon plaisir ".

 

Ma femme est revenue avec un string qu elle avait porté la semaine, elle s est essuyée le visage et les seins avec et m a appelé pour que je léche et nettoie ses cuisses, sa chatte et son cul. Je me suis exécutée devant Aude qui se caressait la chatte pendant que ma femme lui racontait sa soirée à s exhiber et à branler ses hommes et à recevoir leur semence sur son corps sans oublier ceux qui l avaient doigter, peloter et fais jouir.

Lorsqu elle a considéré que je l avais assez nettoyé, nous sommes monter dans notre chambre. Ma femme est allée prendre une douche alors qu’Aude, me faisait mettre à genoux au bord du lit. Elle m a menotté les chevilles et les poignets dans le dos puis elle s est allongée sur le lit et m a offert sa chatte à lécher. Elle semblait très excitée et sa chatte était trempée d avoir vue ma femme ainsi et raconter sa soirée.

 

Marie nous a rejoins. Aude lui a dis de s approcher. Elle est venue à 4 pattes, la tête proche de son visage. Aude lui a dit " embrasses moi " et Marie s est exécutée. Puis elle lui passa une main sur seins et glissa jusqu a sa chatte. Elle doigtait et caresser Marie pendant que je l a léchais. Elle déclara à ma femme " j adore quand tu es comme ce soir et que tu reviens ainsi, tu le sais " et Marie de répondre " oui, maîtresse ". Ainsi ma femme qui me dominait depuis des années, m humilier, me rabaisser avec également une maïtresse.

 

Aude : Elle léche bien la fiotte

Marie : Oui , je vous l avais dit

Je devenais fou, elle qui me disait que j étais nul en amour en baise reconnaissait que je léchais bien à ce moment.

Aude : Tu vas branler encore plus et des grosses n est ce pas

Marie : oui Maîtresse, je branlerai encore plus et des grosses

Aude : Pour qui feras tu ça ?

Marie : Pour vous Maîtresse

Aude : Pourquoi ?

Marie : Parce que je dois vous mériter Maîtresse et que je ne suis qu une vieille salope , qu une grosse cochonne

 

A ce moment, Aude a donné le départ de leur pelotage et caresses mutuelles, elles gouinaient sans relâche. Alors que Marie paraissait très douce dans ces gestes , Aude palpait, doigtait et fouillait le corps de ma femme. Elles ont arrêté et Aude a sorti de son sac un gros god ceinture. Je vais te faire hurler de plaisir petite salope déclara Aude et Marie de répondre oh oui maîtresse venait en moi. Aude s est avancée vers moi et m a obligé de lécher le god qu elle m a fourré dans la bouche jusqu a la gorge. Elle est allée prendre ensuite Marie et elles ont baisé ainsi comme des folles. Ma femme gémissait, criait de plaisir et jouissait mais Aude n arrêtait pas et Marie repartait dans un délire de cri, de mots cru pour encourager Aude.

 

Lorsqu elle ont eu fini, j avais si honte, je pleurais. Aude m a emmené dans la chambre d ami, elle m a allongé sur le lit sur le ventre. Elle m a menotté en croix au lit les poignets et les chevilles et m a laissé ainsi retournant dans la chambre avec ma femme. Elles ont vite repris et j ai entendu durant un très long moment ma femme prendre du plaisir et jouir plusieurs fois.

Par Veronique - Publié dans : Homme soumis
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Vendredi 15 juin 5 15 /06 /Juin 12:54

Nous sommes allés chercher un verre et nous nous sommes déplacés vers un coin tranquille, cela s est fait naturellement. C est elle qui a engagé la conversation

Aude : " j aime beaucoup Marie, votre femme ou Maîtresse comment dois je dire ? "

Moi : " comme vous voulez "

Aude : " c est génial ce que vous vivez, elle a de la chance de vous avoir et vous également "

Moi : "  oui, j ai beaucoup de chance d être avec elle "

A : " Vous ne supporteriez pas de la perdre "

Moi : " Non en effet, c est inimaginable "

Elle écarta le pan du paréo et me passa une main entre les jambes.

Aude : " Ecartes les jambes , sale fiotte "

Je me suis exécuté. Elle a commencé à me caresser le sexe sur sa petite longueur ainsi que les couilles.

Aude : Tu es toute humide salope, tu n as pas le droit de bander , tu le sais

Moi : Oui je sais, je connais les consignes

Aude : Je sais tout sur toi et sur ce que vous faites depuis des années, Marie m a tout raconté dans les moindres détails.

Elle me comprime le sexe et les couilles d une main ferme et dynamique.

Aude : Quand je pense ce qu elle doit faire pour toi, ce qu elle a fait cet après midi pendant que la petite fiotte était tranquillement assis, tu t en rends compte petite bite

Moi : oui je sais et je le regrette

Aude : Non , tu ne regrettes rien, tu n es rien, tu es moins que rien, la pauvre Marie sans culotte, elle doit être entrain de se faire peloter par tous ses hommes, se faire doigter, peut être même branler à cause de toi

Moi : arrêtez s il vous plait

Aude : Pourquoi ça te fais mal ?

Moi : Oui affreusement

Aude : La vérité te fais mal parce que c est pour toi, à cause de toi , de ta faute tout cela ! Allez suit moi.

 

Nous nous sommes écarté plus loin dans un fouret. Là, j ai du prendre appui sur un tronc, elle a relevé le paréo et j ai du écarter les jambes. " Je ne veux plus t entendre " a t elle dit. Elle m a caressé les fesses une fois puis les a claqué sans ménagement une série très rapide et forte. Elle a écarté le string et a commencé à jouer avec le plug. Elle le sortait doucement et le remettait. Elle la sortit pour voir la taille et a déclaré " ou là c est de la grosse artillerie qui te faut la fiotte, t es vraiment une grosse salope ". Je serrai les dents , elle me défonçait le cul oui, je savais qu il était gros , même énorme. Elle me la remis à fond et elle a joué avec, le faisait tourner, bouger dans tous les sens. De l autre main, elle l avait passé entre mes jambes pour me caresser le sexe et les couilles, les comprimer dans sa main, les claquer. Je respirais fort, c était affreux mais je réussissais à ne pas parler ni geindre.

 

Elle a ramassé une flagelle et a commencé à me claquer le cul et l entrejambes avec, je ne pouvais plus retenir des cris. Elle a arrêté, est passée devant moi, elle m a fourré le fond de sa culotte dans la bouche et m a bourré le reste. Très vite , j ai eu son goût de mouille, de pisse, de sueur de ses trois jours qu elle avait passé sans se laver la chatte. Elle avait repris les coups de baguette sur mes fesses, sur mes couilles et ma bite. Je pleurais désormais, me dandinant essayant de fuir le coup suivant.

 

Puis, elle m a fait mettre à genoux. Elle s est approchée, a retiré sa culotte de ma bouche, a retroussé sa jupe et a déclaré "j adore quand tu pleures,  vas y lèche et nettoie moi bien salope de fiotte ". Sa chatte était velue, taillée mais velue, elle sentait fort, très fort. J ai commencé à la laper, la lécher, le goût était très fort du mélange de ces fluides qu elle avait créé durant ces trois jours. J ai repris le plaisir de lécher une chatte velue, j ai empoigné ses fesses et je me perdais dans cette chatte. Elle s est aperçu qu elle ne me dominait plus à ce moment. Elle m a repoussé, m a giflé et m a ordonné de mettre les mains dans le dos, ses fesses n étaient pas pour moi encore moins pour mes mains. Elle m a attrapé par les cheveux et elle utilisait ma bouche et ma langue comme elle le souhaitait désormais. J ai du ouvrir grand la bouche et elle me lâchait des jets d urine que je devais avaler, elle s est vidé en moi et je l ai totalement nettoyé, sa chatte était toute propre.

 

Nous avons rejoins les autres. Ma femme est arrivée un peu plus tard. Elle était dans un état d excitation cela se voyait à son visage et à ses yeux. Au passage d une lumière, j ai vu qu elle avait des traînées à l intérieur le long de ses cuisses jusqu au genoux. Elle déclara aussitôt prés de nous " je n en peux, Aude récupère ton sac et tu vas à la voiture avec la salope, on part immédiatement, je déborde, j en ai plein la chatte et le cul de foutre c est énorme, j en ai branlé tellement que je ne peux plus dire un nombre, toi la fiotte, tu fais le tour du jardin et tu te gares prés du chemin, moteur allumé, je vous y rejoins ". Aude a récupéré son sac, j en déduisais qu elle revenait avec nous ou que nous allions la déposer quelque part.

 

 

Nous avons donc démarré et fais le tour de la propriété, nous arrêtant au chemin comme prévu. Nous attendions moteur allumé. Tout à coup, elle est arrivée en courant, le débardeur baissé sur son ventre, les seins à l air, recouverte de sperme de la tête aux tétons. " Vite à telle dit, démarre, je n en peux plus. " J ai démarré et nous nous sommes enfoncé dans la nuit. Elle reprenait ses esprits et déclara " ceux sont tes neveux qui étaient à l instant dans le bois avec moi, regardes moi dans quel état , ils m ont mis ". J ai regardé, son visage, sa gorge, sa poitrine lourde étaient recouvert de traînées de foutre. Je baissais les yeux , je découvrais que ses cuisses n étaient pas dans un meilleur état et je craignais de voir sa chatte, ses fesses, sa raie. Mes yeux s embuaient.

Par Veronique - Publié dans : Homme soumis
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Jeudi 14 juin 4 14 /06 /Juin 12:43

Mais la journée n’étais pas finie dans l’ignominie, son sadisme en mon encontre et l humiliation. Elle s est allongée sur la table et j ai du la préparer pour la raser intégralement. Puis elle me déclara " au fait, j ai oublié de te prévenir, nous sommes invités à un barbecue ce soir, rase moi bien la chatte, qu elle soit douce au toucher, qu elle puisse bien recevoir le foutre frais, ton père et ton frère y sont invités et d autres personnes, je vais avoir l embarras du choix pour me faire peloter, doigter, et branler, ta famille me fait ça très bien ".

 

Elle avait pris un long bain et se maquillait désormais, quand à moi j ai pris une douche. Lorsque je suis arrivé dans la chambre, elle était déjà habillée, elle portait une minijupe évasée cirée noire , un débardeur blanc et un SG en résille blanche. Elle s est penchée devant moi et j ai découvert très vite le haut de ses cuisses et ses fesses, puis elle s est tournée et s est accroupie, j ai tout de suite découvert sa vulve. Elle ne portait pas de culotte ni de string. Elle a juste dit " vu la gueule que tu tire c est bon ". Puis elle a ajouté " j ai préparé ça pour toi, il y avait un tee shirt, un paréo, un gros plug, une petite ficelle et le string qu elle avait porté l après midi pour recevoir vous savez qui. Elle m a regardé m empaler le plug dans le cul, j avais du mal , elle m encourageait me traitant de petite fiotte, de sale voyeur, de mauvais mari que cela était bon pour moi. J ai enfin réussi à me le fourrer et j ai reçu une grande claques sur les fesses en félicitation. Elle m a attaché la ficelle autour du gland et elle a ramené mon sexe en arrière entre mes couilles puis elle a attaché la ficelle au plug. J ai du passer son string, je sentais qu il était trempé, mon sexe et mes couilles baignait dans sa mouille qu avait produit son exhibe et le reste face à mon père et mon frère. Puis j ai passé le paréo et le tee shirt.

 

Nous sommes arrivés à la soirée barbecue et mon père et mon frère ont eut un grand sourire de nous voir arriver. Je souffrais en silence, serrant les dents, honteux de ce qu elle avait fait, humilié de connaître cela et néanmoins fou amoureux d elle. Nous buvions un verre dans un coin tranquille, il y avait une 50aine de personnes, de la famille, des amis et les amis des amis. Elle m a passé une main sous le paréo, elle me caressait le sexe et les couilles à travers le string allant de la base au gland qui touchait presque la base du plug. Elle me dit " tu es toute mouillée, petite fiotte, tu aimes cette tenue, ton petit cul tout défoncé, ta petite bite et tes petites couilles malmenées liées et compressée dans le string de ta femme qui a du faire tout cela pour te rendre heureux, moi aussi je commence à mouiller, c est de ta faute, je n ai pas de culotte parce que tu la porte salope, ils vont pouvoir voir ma chatte et mon cul facilement à cause de toi, ils vont me peloter, me doigter par ta faute, je t interdis de bander la fiotte " pendant tout ce temps , elle avait caresser ma queue, mes couilles, me les frappant également. Elle a ajouté " bien, le soleil est assez tombé et les petites lumières conviennent très bien, je vais faire mon devoir d épouse pour toi salope de fiotte ". Elle m a laissé là et est allé vers différents groupe choisissant plutôt ceux des hommes. Je suis allé discuter avec les autres.

 

A un moment, elle est venue me présenter Aude. Aude, jeune fille de 18 ans, deux fois moins que moi, que nous, elles avaient sympathisé au club de sport et étaient devenues amies, très amies. Ma femme finit par me dire :

" Aude sait tout de toi, de nous, de notre relation intime, de ce que tu m obliges à faire, à te faire sale petite fiotte, je veux que tu la considère comme moi, autant que moi et que tu lui obéisses comme tu le fais avec moi salope de petite bite, tu as bien compris ? "

" Oui, ai je répondu "

Puis elle continua " Aude a souhaité te faire un cadeau pour cette soirée, je l ai donc conseillé, Aude ne s est pas lavé le sexe depuis trois jours pour toi, elle porte la même culotte depuis jeudi matin, elle n est pas essuyée la chatte après ses pipis et elle s est masturbée à travers sa culotte trois fois par jour, en plus elle a fait le sport avec également et je peux t assurer que nous avons eu chaud avec ce temps. Alors , après tout ce qu elle a fait pour toi , ne l a déçois pas et encore moins moi j’aurai si honte que je devrai te quitter "

" Bien, je vous laisse, vous devez avoir des choses à vous dire et à faire, moi j y retourne ça a déjà commencé pour moi par ta faute petite salope de petite bite a t elle dit avant de nous laisser là"

J étais tellement gênée devant cette jeune fille. Elle n avais rien fais , ni dit, pas même les joues rosies malgré tout ce que ma femme venait de dire. Elle était jolie, 165cm environ, un corps sportif et sculpté tout en restant très féminin, de belles fesses et une poitrine imposante plus grosse que ma femme mais si jeune.

Par Veronique - Publié dans : Homme soumis
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Mercredi 13 juin 3 13 /06 /Juin 15:07

Voici la suite de l article homme soumis 1

 

Cela ne suffisant pas, elle a fait de même dans les réunions de famille et c est ainsi que mon père et mon frère l ont découverte. Vous comprendrez pourquoi nous sommes de plus en plus invité chez eux et combien ma douleur et ma souffrance se développe exponentiellement. Ils passent désormais régulièrement également à la maison seul. Elle a ainsi tout le loisir de s exhiber comme elle veut en mon absence et je les découvre lorsque je rentre. Elle leur montre tout bien évidemment légèrement habillée et toujours de façon exhibe mais indirect. Il arrive alors que je suis assis à côté de mon père ou de mon frère de la regarder comme l autre peu la voir et là de découvrir sa vulve rasée cisaillée d un string entre ses lèvres. Lorsqu il part, elle se met à se caresser et à me raconter le moment passé avec lui, de ce qu ils ont parlé et des positions qu elle a pris et elle me les rejoue devant moi. Elle adore les voir repartir avec une grosse bosse au pantalon. Tout en faisant cela, elle m ordonne de me branler pendant qu elle raconte ce moment et je dois lui jouir sur les seins.

 

Il y a quelques semaines, elle m a déclaré qu’elle avait besoin de bite et de sperme. Je lui ai répondu que j étais là. Elle a éclaté de rire et m a répondu " Non, pas d’une fiotte mais de mâles avec de grosses queues, de grosses couilles et du sperme en quantité. " Je ne pouvais pas l accepter, j en étais incapable, je souffrais déjà assez ainsi, cette idée était impossible à supporter pour moi. Elle m a alors annoncé qu elle accepté à repousser son plaisir à condition qu’elle puisse se faire tripoter par / et branler mon père et mon frère. Elle a tellement été sadique dans ses ordres et son utilisation de mon corps que j’ai accepté sous les pleures.

 

J étais dans le cellier, attaché pied poings, jambes , torses et bras sur une chaise complètement nu, des pinces et des poids aux tétons, un gros plug dans l anus et mes couilles liées, pendantes avec du poids. J avais un bâillon boule dans la bouche. Je voyais par l entrebâillement de la porte et celle du salon le canapé. La sonnette a retenti et j ai vu mon père entrer. Il était dans le canapé, elle s est mise dans un fauteuil voisin , je pouvais les voir tous les deux. Elle portait des haut talons, des bas fins, une guêpière en résille comme le string, un chemisier transparent et une minijupe. La minijupe si courte laissait voir lorsqu elle était assise, le haut de ses bas, la jartelle , sa peau nu jusqu au début de sa fesse alors lorsqu elle ouvrait les jambes vous imaginez. Son chemisier ne cachait rien on voyait clairement la guêpière et ses gros seins lourds débordaient et pendaient. Ils ont discuté tout en sirotant un, puis deux et trois verres. Elle s est rapprochée de lui sur le canapé. Il a commencé à la caresser doucement et ses mains se sont libérés pour aller visiter ses cuisses, son entrejambes, ses seins, ses fesses, sa chatte. Elle a déboutonné son pantalon et elle lui a baissé aux chevilles. Tantôt debout, tantôt dans le canapé , elle se faisait tripoter sans retenu ni tabou tout le corps tout en lui branlant son gros manche désormais raide. Elle a retiré son string et il le humait régulièrement tout en la doigtant. Elle l a fait jouir sur sa chatte et elle jouissait en même temps se frottant frénétiquement la chatte et le clito avec ce sperme abondant. Elle lui a essuyé sa queue sur sa raie. Il a fini son verre et il est parti la bisant comme ci de rien n était.

 

La porte fermée, j ai entendu ses talons sur le carrelage se rapprocher. Elle a ouvert la porte, je la découvre dans cette guêpière, elle est splendide, magnifique femme fatale. Ses gros seins lourds pendent magnifiquement et là oui il faut que je baisse les yeux , je découvre sa chatte rasée, trempée de sa mouille et inondée de foutre, l intérieur de ses cuisses sont souillées également. Je pleure depuis un petit moment. Je n en peux plus et elle déclare " regardez ce petit vicieux, il bande dur, cette fiotte, c est une honte après ce que tu obliges à faire à ta femme ", elle me tord le sexe, me le gifle, le frappe et le pince. Elle tire la chaise vers le sol, je suis attaché regardant le plafond. Elle me retire le bâillon et m enjambe. Elle s accroupie et m ordonne de lécher , de la nettoyer et de ne pas oublier la raie pendant ce temps elle me martyrise la queue. Je lèche et avale sa mouille, le sperme, je lui nettoie bien tout son entrejambe. Lorsque tout a été nettoyé, elle me remet le bâillon boule et redresse la chaise.

 

Elle revient avec un sac plastique de glaçon, elle entoure ma bite dedans et me redit " c est une honte que tu bandes après ce que tu m obliges à faire, sale fiotte " et elle me laisse là. Elle va remettre sa minijupe et son chemisier ainsi que son string. Quelques minutes plus tard la sonnette sonne de nouveau. Elle approche du cellier, ouvre la porte, me retire les glaçons, ma queue est toute pendante et petite. Elle me dit " c est mieux ainsi, là tu as ta queue de fiotte comme d habitude , ah oui , j ai oublié de te dire ton frère passe aussi maintenant " et elle laisse la porte légèrement entrebâiller. Elle s y est pris de la même façon et est arrivée à la même conclusion. Il lui a giclé par deux fois une sur la chatte et la seconde fois sur le cul quant à elle , elle avait jouie fortement les deux fois

 

Malgré ma honte, la douleur de l humiliation et de ma situation ainsi que des poids et du plug, je bandais. Elle était folle de rage de voir mon sexe ainsi. Elle m a giflé, me traitant de tous les noms, me rappelant que j étais qu une fiotte de merde. Elle a remis la chaise à terre comme précédemment, retirée le bâillon et m a enjambée et accroupie j ai du lécher et nettoyer sa chatte et son cul ainsi que sa raie inondée de mouille et de tout ce sperme. Elle me frappait les couilles et me martyrisait la bite pour que j arrête de bander. Enfin propre de la moindre goutte de mouille et de sperme, elle m a libéré de mes liens et de mes gadgets de souffrance. Ma queue douloureuse ne bandait plus.

Par Veronique - Publié dans : Homme soumis
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