Vendredi 15 juin 5 15 /06 /Juin 12:54

Nous sommes allés chercher un verre et nous nous sommes déplacés vers un coin tranquille, cela s est fait naturellement. C est elle qui a engagé la conversation

Aude : " j aime beaucoup Marie, votre femme ou Maîtresse comment dois je dire ? "

Moi : " comme vous voulez "

Aude : " c est génial ce que vous vivez, elle a de la chance de vous avoir et vous également "

Moi : "  oui, j ai beaucoup de chance d être avec elle "

A : " Vous ne supporteriez pas de la perdre "

Moi : " Non en effet, c est inimaginable "

Elle écarta le pan du paréo et me passa une main entre les jambes.

Aude : " Ecartes les jambes , sale fiotte "

Je me suis exécuté. Elle a commencé à me caresser le sexe sur sa petite longueur ainsi que les couilles.

Aude : Tu es toute humide salope, tu n as pas le droit de bander , tu le sais

Moi : Oui je sais, je connais les consignes

Aude : Je sais tout sur toi et sur ce que vous faites depuis des années, Marie m a tout raconté dans les moindres détails.

Elle me comprime le sexe et les couilles d une main ferme et dynamique.

Aude : Quand je pense ce qu elle doit faire pour toi, ce qu elle a fait cet après midi pendant que la petite fiotte était tranquillement assis, tu t en rends compte petite bite

Moi : oui je sais et je le regrette

Aude : Non , tu ne regrettes rien, tu n es rien, tu es moins que rien, la pauvre Marie sans culotte, elle doit être entrain de se faire peloter par tous ses hommes, se faire doigter, peut être même branler à cause de toi

Moi : arrêtez s il vous plait

Aude : Pourquoi ça te fais mal ?

Moi : Oui affreusement

Aude : La vérité te fais mal parce que c est pour toi, à cause de toi , de ta faute tout cela ! Allez suit moi.

 

Nous nous sommes écarté plus loin dans un fouret. Là, j ai du prendre appui sur un tronc, elle a relevé le paréo et j ai du écarter les jambes. " Je ne veux plus t entendre " a t elle dit. Elle m a caressé les fesses une fois puis les a claqué sans ménagement une série très rapide et forte. Elle a écarté le string et a commencé à jouer avec le plug. Elle le sortait doucement et le remettait. Elle la sortit pour voir la taille et a déclaré " ou là c est de la grosse artillerie qui te faut la fiotte, t es vraiment une grosse salope ". Je serrai les dents , elle me défonçait le cul oui, je savais qu il était gros , même énorme. Elle me la remis à fond et elle a joué avec, le faisait tourner, bouger dans tous les sens. De l autre main, elle l avait passé entre mes jambes pour me caresser le sexe et les couilles, les comprimer dans sa main, les claquer. Je respirais fort, c était affreux mais je réussissais à ne pas parler ni geindre.

 

Elle a ramassé une flagelle et a commencé à me claquer le cul et l entrejambes avec, je ne pouvais plus retenir des cris. Elle a arrêté, est passée devant moi, elle m a fourré le fond de sa culotte dans la bouche et m a bourré le reste. Très vite , j ai eu son goût de mouille, de pisse, de sueur de ses trois jours qu elle avait passé sans se laver la chatte. Elle avait repris les coups de baguette sur mes fesses, sur mes couilles et ma bite. Je pleurais désormais, me dandinant essayant de fuir le coup suivant.

 

Puis, elle m a fait mettre à genoux. Elle s est approchée, a retiré sa culotte de ma bouche, a retroussé sa jupe et a déclaré "j adore quand tu pleures,  vas y lèche et nettoie moi bien salope de fiotte ". Sa chatte était velue, taillée mais velue, elle sentait fort, très fort. J ai commencé à la laper, la lécher, le goût était très fort du mélange de ces fluides qu elle avait créé durant ces trois jours. J ai repris le plaisir de lécher une chatte velue, j ai empoigné ses fesses et je me perdais dans cette chatte. Elle s est aperçu qu elle ne me dominait plus à ce moment. Elle m a repoussé, m a giflé et m a ordonné de mettre les mains dans le dos, ses fesses n étaient pas pour moi encore moins pour mes mains. Elle m a attrapé par les cheveux et elle utilisait ma bouche et ma langue comme elle le souhaitait désormais. J ai du ouvrir grand la bouche et elle me lâchait des jets d urine que je devais avaler, elle s est vidé en moi et je l ai totalement nettoyé, sa chatte était toute propre.

 

Nous avons rejoins les autres. Ma femme est arrivée un peu plus tard. Elle était dans un état d excitation cela se voyait à son visage et à ses yeux. Au passage d une lumière, j ai vu qu elle avait des traînées à l intérieur le long de ses cuisses jusqu au genoux. Elle déclara aussitôt prés de nous " je n en peux, Aude récupère ton sac et tu vas à la voiture avec la salope, on part immédiatement, je déborde, j en ai plein la chatte et le cul de foutre c est énorme, j en ai branlé tellement que je ne peux plus dire un nombre, toi la fiotte, tu fais le tour du jardin et tu te gares prés du chemin, moteur allumé, je vous y rejoins ". Aude a récupéré son sac, j en déduisais qu elle revenait avec nous ou que nous allions la déposer quelque part.

 

 

Nous avons donc démarré et fais le tour de la propriété, nous arrêtant au chemin comme prévu. Nous attendions moteur allumé. Tout à coup, elle est arrivée en courant, le débardeur baissé sur son ventre, les seins à l air, recouverte de sperme de la tête aux tétons. " Vite à telle dit, démarre, je n en peux plus. " J ai démarré et nous nous sommes enfoncé dans la nuit. Elle reprenait ses esprits et déclara " ceux sont tes neveux qui étaient à l instant dans le bois avec moi, regardes moi dans quel état , ils m ont mis ". J ai regardé, son visage, sa gorge, sa poitrine lourde étaient recouvert de traînées de foutre. Je baissais les yeux , je découvrais que ses cuisses n étaient pas dans un meilleur état et je craignais de voir sa chatte, ses fesses, sa raie. Mes yeux s embuaient.

Par Veronique - Publié dans : Homme soumis
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Images aléatoires

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus