Jeudi 23 août 4 23 /08 /Août 15:11

C était durant les vacances d été. Nous avions loué un chalet au bord de la mer. J étais accompagné de mon mari, d une amie divorcée et de son jeune fils. Je savais que mon maître s occupée d elle également. Dés la première journée, je me suis sentie gênée par son jeune fils, Simon. Il me scrutait, me regardait avec des yeux vicieux et pervers. Mon mari avait décrété que je ne porterais pas de SG de toutes les vacances et je n avais que des minijupes ou petite robe courte à me mettre. Je portais parfois des strings selon sa volonté mais bien souvent à l envers.

 

Simon ne se cachait pas, du moins en l absence des deux autres, pour regarder mes seins lourds et pendant libre sous mes chemisiers ou robe. Vu sa petite taille, il était à la hauteur de mes pies. Il en faisait de même sur mes jambes, mes cuisses et mon cul. Lorsque nous étions installés sur la terrasse, il descendait sur l herbe ainsi il était à hauteur de mes genoux lorsque j étais assise toujours à chercher à voir mes cuisses, mes fesses et mon entrejambes, un vrai voyeur obsédé.

 

Nous étions là depuis trois jours quand j ai découvert mes strings sales souillé de sperme plus ou moins frais. Je n avais aucun doute sur la provenance, Simon. Ainsi, il se masturbait dans mes culottes portées. J étais affreusement gênée et outrée par ce jeune mais je n en parlais ni à mon mari ni à sa mère. Il se masturbait désormais plusieurs fois par jour dans mes culottes portées vue l état dans lesquelles je les retrouvais le soir.

 

Un soir, mon mari m a demandé de porter un string que j avais porté la veille. Je suis allée le chercher dans le plastic et je l ai trouvé tremper de foutre. Il avait été arrosé l après midi. Je l ai néanmoins passé le devant derrière comme souhaité par mon mari ainsi qu une minijupe des plus courtes et un chemisier. Alors que nous prenions l apéro sur la terrasse. Simon était dans l herbe à m observer et je ne pouvais rien cacher dans cette tenue. Il pouvait clairement voir ma chatte cisaillée du string que j avais porté la veille et qu il avait inonder de sperme dans la journée. Alors que nous roulions vers le restaurant que tous les deux, mon mari m a passé une main entre les jambes. Il m a dit " tu es déjà trempé ma cochonne ". Je n ai pu que répondre oui sans lui avouer vraiment ce qu il y avait sur mon string. Le soir en rentrant, mon mari m a entrepris et m a baisé, me donnant mon string à lécher. Il souhaitait que je lèche mes odeurs et ma mouille mais je savais qu il n y avait pas que moi dedans. Je l ai néanmoins fait suçant mon string, aspirant les jus et jouissant alors qu il m enculait.

 

Cet après midi là, après une petite sieste, je passais ma culotte de bain. J ai aussitôt senti l humidité sur ma chatte. Elle devait pourtant être sèche depuis la veille. J ai passé ma main et j ai découvert une épaisse dose de sperme sur le fond de culotte. Ce petit salaud s était branlé dans mon maillot de bain. Je suis allée dans la salle de bain pour nettoyer cela. Je pensais être seule.

 

La porte de la salle de bain à peine ouverte, je me retrouvais nez à nez ou plutôt vu sa taille tétons à nez avec Simon. Short baissé, la queue raide, un de mes strings au nez, je le surprenais alors qu il me découvrait juste avec ma culotte de bain, les seins lourds et pendants. Je suis restée figée face à lui et lui ne pouvais plus rien faire, il était trop tard. Il a joui immédiatement, je sentais ses longues giclées de foutre venir s écraser sur mon bas ventre, ma culotte et mes cuisses. Aussitôt qu il a eu fini, il a jeté mon string dans le plastic et il a fui. Quand à moi, mon mari et Anne notre amie m appelaient de la voiture pour partir à la plage. Je ne sais pas pourquoi, c est moi qui ai eu peur, j ai enfilé une petite robe, j ai pris mon matériel et je les ai rejoins.

 

Anne et mon mari nous ont déposé à la plage , eux préférant aller se promener. Mon mari m a enlever le Sg du maillot de bain de mon sac, le gardant, m obligeant ainsi à faire du seins nues ou plutôt de la mamelles pendantes nues. Tout en marchant, j avais Simon à mes côtés et nous ne parlions pas. Que dire après ce qui venais d arriver. Je sentais son sperme frais sur mon bas ventre sur mes cuisses et la culotte trempée dessus dedans. Nous nous sommes installés dans les dunes n ayant pas de Sg et, sur la plage, elles étaient plutôt rare les femmes au seins nues.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Jeudi 23 août 4 23 /08 /Août 15:09

Elle venait de me baiser la chatte et le cul avec trois god ceintures différents et le troisième aux normes disproportionnées m avait violé la chatte et le cul. J étais en larmes, attachée toujours avec ces pinces aux seins et ses poids qui pendaient de chaque côté de la petite table. Elle m a retiré l œuf en bois que j avais de bloqué dans la bouche et m a détaché. Elle venait de jouir très fort. Elle retira le god ceinture.

 

Lèves toi ! me dit elle et je m exécutais mes mamelles pendantes et étirés par les poids. Elle plaça un gros et long plug de sa fabrication en bois au bord de la petite table basse. Heureusement d une taille inférieure que le god ceinture qu elle venait d utiliser mais j en avait jamais porter de si gros et long. Elle m a fait venir au dessus, elle était accroupie et tenait le plug. Elle avait mis des punaises sur la table. J ai du m asseoir lentement le cul sur le plug. Je me taisais, serrant les dents, mordant les lèvres mais ne pouvant retenir quelques cris quand tout le plug était dans mon cul et mes fesses sur les punaises.

 

Empalée de la sorte par ce plug énorme et mes fesses sur des punaises, elle m a fait prendre appui en arrière sur la table pour offrir ma chatte et mes jambes bien écartées à sa vue. Elle a replacé les poids de chaque côté de mon corps pour qu ils pendent bien et non en appui sur mon ventre.

 

Elle : Ca a été un délice grosse chienne

Moi : oui maîtresse

Elle : je ne croyais jamais me servir de ce god ceinture mais avec toi c est possible

Moi : Oui maîtresse

Elle : j ai joui si fort, tu vois ainsi ce plug te rentre bien dans le fion et les punaises n attendez que ton gros cul, tu es gâtée, remue les fesses, oui bouge bien, il faut continuer à s occuper de toi.

Moi : Oui maîtresse

J avais le cul explosé avec ce plug et les punaises un délice dans la chair.

Elle apporta de nouveaux poids pour mes seins, les pauvres étaient étirés de chaque côté de mon corps. Elle attacha le poids et le lâcha de toute la hauteur de la ficelle , je n ai pu retenir un cri. Elle a fait de même pour l autre seins. Elle est venu s asseoir à mes côtés. Elle me caressait le ventre , mes seins écrasés sur mon corps tellement ils étaient étirés, ma chatte. Elle me branlait doucement.

 

Elle : tu es un délice de perversion

Moi : merci Maîtresse

Elle : les pinces et les poids te font mal ?

Moi : Oui très mal

Elle : Mais tu le fais pour moi

Moi : Oui Maîtresse

Elle : Prends les trois poids dans ta main et lève le bras

Moi : Bien Maîtresse

Elle : Lâche les maintenant

J ai lâché un cri de bête lorsqu ils ont atteint le bout de la ficelle.

Elle : recommence avec l autre seins

Je me suis exécutée et 5 fois de suite mes seins ont été martyrisés de la sorte.

Elle : tu es superbe et obéissante.

Elle a pris une des nombreuses bougies allumées et a versé un peu de cire chaude sur mes tétons ; Je ne pouvais pas retenir mes cris même bouche fermée.

Elle : Tu aimes ?

Moi : oui Maîtresse

Elle : je souhaite que tu ne bouges plus.

Elle a versé de la bougie sur mes seins, mon ventre, mon pubis, mes cuisses se rapprochant de ma vulve. Elle visait désormais ma chatte charnue. J étais allongée sur le dos, le cul toujours pluggé et les fesses sur les punaises, les jambes grandes ouvertes. J ai du tiré sur mes lèvres pour qu elle puisse en mettre sur l intérieur d elle. Je pleurais mais je ne bougeais pas et je lui obéissais. Elle m a recouverte de cire la vulve. J ai du dégagé mon clito pour qu elle le recouvre de cire également, je ne pouvais retenir mes cris.

 

Elle m a fait mettre debout. Elle m a retiré le plug que j ai du lécher et nettoyer. J avais des punaises sur les fesses. Elle m a amené prés d une chaise sur laquelle il y avait une bougie au large diamètre mais pas très haute. On voyait dans la cire chaude reflétait les petites flammes. Elle m a fait enjambé de face la chaise, j avais cette large bougie entre les jambes. J ai du m asseoir dessus. Je me suis assise vite mais aussitôt j ai senti la cire sur mon anus et mes fesses. J ai du rester assise là. Elle allait chercher la cire des autres bougies pour les déverser sur mon dos, l arrière de mes cuisses et le haut de mes fesses.

Par Veronique - Publié dans : Oldman
Ecrire un commentaire - Voir les 7 commentaires
Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 12:37

J arrivais chez Madame Dédé. Elle ouvre la porte, elle m attendait. Elle semble très excitée à ma venue et certainement aux projets qu elle me réserve.

 

Moi : Bonjour Maîtresse

Elle : Bonjour sale chienne

 

Nous traversons la maison et la cour pour rejoindre un hangar. Une partie du hangar lui est réservée et deux pièces. Elle ouvre avec une grosse clé la porte de la dernière. C est sa pièce personnelle.

 

Elle : ils t ont baisé, salope ?

Moi : Oui , maîtresse

Elle : ils t ont enculé, grosse vache ?

Moi : Oui , Maîtresse

Elle : Tu les a sucé, vieille pute ?

Moi : Oui, maîtresse

Elle : tu pues la mouille, le sperme et la pisse, sale truie

 

Je revenais de chez oldman où lui et Dédé, durant 2 heures non stop, m avait baisé, enculé, que j avais sucé et ils m avaient pissé dessus. J avais juste remis ma petite robe pour la retrouver et c est elle qui avait décidé du moment et des conditions. J ai retiré ma robe pour me présenter nue et souillée devant elle. Elle avait retiré sa robe et apparaissait en bas, guêpière et culotte. Elle m a passé une main sur la chatte et m a ramené de la mouille et du sperme à lécher.

 

Elle : Ici, c est mon jardin secret. Jamais Dédé ni est rentré, je viens ici depuis des années, confectionnant des objets de plaisirs, attendant la soumise de mes rêves. J attends depuis si longtemps. Nous allons pouvoir vérifier si tu acceptes tout. Tu es dans l antre du sadisme. Tu peux encore refuser mais pour ma part ce n est pas le petit moment dans le bois avec toi qui m empêchera d aller tout raconter à ta famille. Si tu restes , il n y aura que moi pour décider d arrêter et je ferai tout ce que je veux de toi. Attends toi à souffrir, à être martyriser sans limite selon ma volonté. Je préfère être sur que tu comprends bien.

Moi : Oui, Maîtresse, j ai compris

Elle : Souhaites tu t offrir à mon sadisme ?

Moi : Oui, Maîtresse, j offre mon corps à votre sadisme.

Elle : Bien, je veux qu au début, tu sois libre et que tu t offres ensuite je sais que je devrais tacher pour continuer

Moi : Oui Maîtresse, je ferai de mon mieux

Elle : Il vaut mieux petite salope, mets toi à 4 pattes sur cette petite table et écartes tes jambes de vieille chienne

 

Je me suis installée comme elle le souhaitait. Elle a ouvert une armoire et j ai découvert de nombreux objets qu elle avait fabriqué en bois et cuir. Elle a pris un martinet et a commencé à m en assener quelques coups sur tout le corps. Puis, elle a pris un god ceinture, le god était formé d un morceau de bois au bout arrondi. Elle l a passé et est venue derrière moi. J aurai apprécié qu elle le mouille ou me le fasse sucer mais elle ne semblait pas le vouloir. Elle a placé le morceau de bois au bord de ma chatte et m a prise ainsi. Elle me limait désormais. Le bois était de taille et de diamètre sensiblement identique à une bite. Elle s est arrêtée et est venue me faire sucer le morceau recouvert de mouille et de sperme. Lorsqu il a été propre, elle est retournée derrière moi et elle m a enculé. Elle me défonçait le cul a grand coup de boutoir, je serrais les dents. Elle est revenue dans ma bouche pour faire nettoyer le bois maculé.

 

Puis, elle m a mis des pinces aux seins. Ce n était pas des officiels, elles me perçaient les tétons, elle a ajouté des poids. Les poids se balançaient de chaque côté de la table et mes seins étaient étirés. Elle a changé de god ceinture pour un bois plus long et plus épais. De nouveau elle est venue dans ma chatte me limer et me faire nettoyer le bois puis dans mon cul. Elle se défoulait dans mes trous comme une déchaînée. Je poussais des petits cris. Je ne pouvais pas tous les retenir malgré que je me mordais les lèvres. Après le nettoyage d usage suite au passage dans mon cul, elle m a remis des poids aux seins.

 

Elle a changé de god ceinture mais cette fois ce troisième le bois était disproportionné tant en taille qu en diamètre. Je pensais que c était pour me faire peur. Mais elle me le présenta à la vulve et elle me força la chatte. Ca rentrait mal, si gros, cela m écartelait la chatte. Elle m encourageait tout en me claquant les fesses. " Ouvre toi sale chienne, montres à ta maîtresse que tu veux t offrir à elle " Elle m a forcé et j ai hurlé, elle me limait malgré mes plaintes. Elle s est arrêtée et à pris un genre de gros œuf en bois avec une lanière. Elle m a mis l œuf dans la bouche et a attaché la lanière derrière ma tête. Elle a donné un coup de pied dans les poids qui pendaient . Puis, elle est revenue dans ma chatte, me forçant de nouveau, me violant. Elle en est sortie et m a libéré la bouche pour que je suce ce gros morceau de bois qui venait de me violer la chatte. Je l a supplié d arrêter tout en léchant comme une gourmande le manche.

 

Elle m a attaché les chevilles, les genoux et le haut des cuisses solidement, je ne pouvais plus bouger puis les mains. Je pense qu il vaut mieux pour maintenant a t elle juste dit. Elle a présenté le bois énorme sur mon anus. Je l ai supplié de ne pas faire cela, que ça ne rentrerait pas, que je ferai ce qu elle voudrait mais pas ça. J étais attachée, je ne pouvais bouger et elle avait appuyé le god contre mon anus dilatée. Elle m a attrapé les hanches et elle a poussait. J ai hurlé, gueulé, elle a réussi à entrer me violant l anus, me l explosant. Elle est sorti de mon cul, je pleurais, elle m a fait lécher cette énorme manche sale de mon cul et de sperme restant des autres. Elle a beaucoup apprécié mes larmes. Elle m a remis l œuf dans la bouche et attaché. J avais du mal à respirer avec. Elle est reparti dans mon cul , et de grand coup de boutoir, elle s est déchaînée jusqu a jouir, elle hurlait de plaisirs.

Par Veronique - Publié dans : Oldman
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 12:55

Après cette séance d essai de tenue à l intérieur, il m a fait mettre juste un manteau par dessus. Je portais donc des bottes, des bas, un collier et cette guêpière qui me laissait les seins libres et pendants. J avais la chatte intégralement rasée et les jartelles me zébraient mon gros cul.

 

Nous sommes partis en voiture, je devais garder mon manteau ouvert et sur la route, les camionneurs pouvaient profiter du spectacle de ma tenue, les jambes écartées, la chatte lisse et mes seins offert à leur vue. J étais affreusement gênée et je préférais fermer les yeux. Mon mari me faisait part des appels de phare qu on lui faisait lorsqu il avait fini de doubler lentement les camions. J avais la peur au ventre et j étais morte de honte de me montrer ainsi.

 

Nous sommes arrivés dans un bois, là je suis descendue et j ai du prendre différentes poses pendant qu il me prena

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 12:54

Je sortais du travail et rejoignais le parking pour prendre la voiture. J ouvrais la portière lorsqu une voix m interpella. Je me retournais et découvrais une dame, petite, menue, aux cheveux gris d environ 75 ans. Elle m expliqua que sa voiture était en panne et me demanda si je pouvais la déposer chez elle. Je lui ai demandé où était chez elle ? C était sur mon chemin du moins pas un grand détour.

 

Sur la route, nous discutions de tout et de rien et je découvris qu elle connaissait très bien mes parents et ma famille. Elle m avait même connu toute petite. Alors que nous étions en pleine campagne et quelques petits kilomètres de son village, elle m annonça

Elle : " Je suis Madame x, la femme de Dédé ; Je sais tout sur vous et ce que vous faites avec Jean et Dédé ".

J étais interloquée, je ne savais pas quoi répondre.

Elle : " Ou tu m obéis désormais, ou je raconte tout à tes parents et à ta famille "

Moi : " Oui, Madame " " que voulez vous ?, que j arrête de les voir ? "

Elle : Non, je veux ma part, que tu m obéisses

Moi : comment ?

Elle : maintenant, tu sors tes pies, c est ainsi qu ils les appellent, non ?

Moi : Oui madame

Elle : Ecartes les jambes

J avais sorti mes mamelles du SG, le chemisier ouvert. Elle me pelotait les seins et avait glissé une main sur ma cuisse, écartant mon string, me branlant et me doigtant sans ménagement.

Elle : Il a raison, t as la chatte brûlante, t as toujours chaud au cul ?

Moi : Oui madame

Elle : C est doux une chatte rasée mais franchement laid à ton âge

Moi : Oui madame

Elle : Tu accepte tout , il paraît ?

Moi : Oui Madame, tout

Elle : je veux te dominer sévèrement quelques heures, tu acceptes ?

Moi : Oui madame

Que pouvais je répondre d autre, elle qui connaissait si bien mes proches et savait tant de choses sur moi. Elle m indiqua un chemin qui entrait dans la forêt et je l ai pris. J ai du arrêter la voiture, sortir et faire le tour de la voiture pour être à la fenêtre de sa portière.

Elle : Tu vois le piquet à 20 mètres, tu y vas et tu te déshabilles complètement, tu laisseras tes habits sur le piquet.

J y suis allé et je me suis exécutée revenant nue à ses côtés. Là, jambes écartées en appui sur la barre de toit, les mamelles pendantes, elle a sorti son bras de la voiture pour me peloter la chatte , me branler, me tirer sur les seins, les pincer, me doigter l anus. Elle me faisait me retourner et présenter mon gros cul pour qu elle y enfonce son doigt voire ses doigts. Elle est ensuite sortie de la voiture et elle m a donné quelques fessées sur mon gros cul, ma chatte et mes seins. Elle était très excitée et elle m a ordonné de m accroupir. Elle a remonté sa robe, je découvrais ses vieilles jambes et sa culotte.

Elle : Baisse la et lèche moi !.

J ai baissé sa culotte. J ai découvert une vieille chatte velue de poil gris. Je l ai léché, elle mouillait fort, elle m insultait, je sentais que son plaisir montait. Elle a joui très fort comme une pucelle. J ai du tout boire de sa mouille et elle m a même lâché un jet d urine que j ai reçu en bouche.

 

Je me suis rhabillée sans remettre mon string ni mon sg comme elle l avait voulu. Je l ai déposé chez elle. Elle m a giflé fortement me rappelant que nous avions un contrat désormais ensemble.

Par Veronique - Publié dans : Oldman
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires

Images aléatoires

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus